mercredi 13 décembre 2017

Arbre de Noël

Chèr(e)s collègues,

Vous n’êtes pas sans savoir que l’arbre de noël ne s’est pas déroulé comme les années précédentes.
Dès janvier 2017, nous avons su que la salle servant au goûter et à la distribution de jouets ne nous serait pas allouée en décembre 2017 !!!!!

Nous nous en sommes étonnés à plusieurs reprises lors des commissions LVC (Loisirs, Voyages, Cultures) et n’avons pas eu de réponses vraiment tranchées.

Nous devions nous « contenter » d’un chapiteau qui, comble de la situation devait en plus être facturé !!!!!

Etant déjà sceptiques quant à cette solution de repli en matière de capacité d’accueil, de confort, de chauffage et de sécurité, ce que nous craignions, n’a pu que se confirmer quelques jours seulement avant cette date festive.

Nous déplorons l’annulation du goûter et de la remise des jouets lors du spectacle de noël, que nous qualifierons de grand fiasco !

De nombreux salariés ont décidé au dernier moment d’annuler le déplacement sur Le Mans. Rien de surprenant car faire le déplacement le dimanche pour le spectacle puis le lundi, sur chacun des sites siège, pour aller chercher les cadeaux aurait généré du temps et de la route…

Pour l’anecdote, les chocolats des enfants qui ont des cartes cadeau sont disponibles au Comité d’Entreprise alors que d’autres enfants ont reçu leurs chocolats par courrier interne…

Sachez que nous, membres CGT de la commission LVC,  nous nous attacherons à l’avenir à exiger des réponses claires à chacune de nos interrogations.

Nous demandons au Comité d’Entreprise :

-         Ne pas payer le chapiteau non utilisé

-         Revoir notre partenariat avec l’ASN (Association du Spectacle de Noel)


-         Etudier d’autres prestataires sur Angers et Laval afin de permettre d’alterner les départements

mardi 12 décembre 2017

Réponses Délégués du Personnel Décembre 2017

1) QUALITÉ ? 

Déjà en temps « normal », la qualité de notre informatique n’est pas satisfaisante mais lorsqu’en plus les dysfonctionnements s’enchaînent, l’exercice des métiers devient invivable surtout dans le réseau. Nos questions se succèdent à ce sujet.
Le 2 février dernier nous avons souligné l’état de fatigue et de stress que génère la médiocrité de notre outil de travail en demandant que cessent les évolutions informatiques non maîtrisées.
Le 4 mai nous avons de nouveau interpellé la direction sur la gravité croissante des dysfonctionnements et nous posions la question d’un possible accident informatique. Y sommes nous arrivés avec ce que nous venons de vivre durant la semaine 46 ou devons nous imaginer pire ? Des salariés évoquent un piratage au niveau national.
Avons-nous été victimes d’un « rançongiciel » ou ces rumeurs sont-elle totalement infondées ?

Réponse : Face aux risques potentiels d’attaques malveillantes, un nouveau programme de sécurisation informatique a été mis en place pour protéger les réseaux internes au moyen de pare-feux et d’antivirus.
Aucune anomalie n’a été constatée durant les tests du week-end mais lors de la montée en charge de l’activité le mardi, le matériel n’a pas pu répondre à la demande et les dysfonctionnements se sont enchaînés.
Un correctif a été mis en place pour résoudre les problèmes rencontrés. Un flash concernant les incidents de la semaine 46 a été diffusé le 7 décembre, jour de la réunion DP. Le renforcement de la sécurité informatique va être poursuivi en 2018. La direction indique qu’aucun piratage n’a été subi par le Crédit Agricole à l’occasion de cette panne informatique.
Attendons-nous à d’autres dysfonctionnements malgré les précautions prises par CATS puisqu’à chaque fois les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Conseil : posez une journée ou une semaine pour les prochaines mises à jour informatiques…

2) UNE NOUVELLE TAXE ? 

Dans le cadre de la suppression de la taxe sur les transactions financières et la taxe exceptionnelle imposée aux établissements bancaires, CASA va-t-il nous faire supporter le coût par un prêt avec des conditions aussi avantageuses que pour l’opération EUREKA ?

Réponse : La question ne relève pas des DP. La CR n’est pas concernée par la taxe exceptionnelle et CASA n’a pas prévu de demandes aux CR de la financer contrairement à la nouvelle organisation EUREKA que la CR a largement subventionnée.

 3) ANTICIPATION 

Certaines opérations sont débitées ou créditées sur les comptes de passage des agences pour régularisation (clôture livret sans DAV support, cotisation carte sur livret sans solde suffisant, remises de chèques non imputables, virement notaire ...).
L’information concernant ces opérations peut-elle être transmise suffisamment tôt pour permettre une régularisation avant l’arrêté de fin d’année ?

Réponse : La direction effectuera dans sa réponse le rappel des conditions de traitement des opérations en suspens et les règles d’arrêté de fin de mois. Elle va relayer notre demande auprès des services concernés dans l’éventualité où certaines opérations pourraient être anticipées.

4) FOURRE-TOUT 

Les revues de portefeuilles viennent d’être effectuées. Les clients à stock, inintéressants pour la Banque Privée, sont arbitrairement de retour dans les portefeuilles des CDP (les mêmes clients avaient manifesté leur mécontentement de changement). Comment leur vendre que leur profil a moins d’intérêt pour la Banque Privée qu’il y a 2 ans ?

Réponse : Les revues de portefeuilles sont une pratique normale pour la CR sachant que les clients sont amenés à connaitre des évolutions patrimoniales. L’appui de la Banque Privée doit se faire pour les agences comme il était indiqué sur le papier au départ, lors de la mise en place de celle-ci.
Nous regrettons qu’à la mise en place de la Banque Privée, les seuls qui connaissaient leurs clients (les conseillers) n’aient pas été consultés dans la répartition de leurs clients.
Ce qui se traduit aujourd’hui par des réaffectations de clients auprès de leur conseiller antérieur. Comment parler de Très Grande Satisfaction dans ce cas là ?
Nous espérons que la direction saura rectifier cette procédure. Elle en a pris note.

5) PREDICA 

À ce jour (23/11), des dysfonctionnements perdurent sur Predica. Qui est responsable, en tout cas pas les conseillers qui sont face à leurs clients ?

Réponse : Les incidents nationaux ont été résolus le 30/11/2017. Les incidents qui subsistent et que nous qualifions de dysfonctionnements seraient plutôt, pour la direction, des écarts de  fonctionnement (actes de rachat, règles de valorisation, règles de nantissement…) dus à un déficit d’information sur les changements opérés.
Nous demandons que dans ce cas, un message d’accompagnement de l’opération à réaliser soit inséré.
En off par le service Assurance : tout n’est pas résolu pour certaines opérations Prédica (adhésion Floriane, nantissement…).
Avec Prédica, c’est une histoire sans fin.

 6) OFFRE CONCURRENCE

Parmi les offres de la concurrence, certaines innovations peuvent-elles être reprises pour compléter nos services ?
Nous pensons particulièrement à l’option de blocage temporaire de la carte que propose Orange Bank et qui répond à une situation que rencontrent souvent nos clients.
À défaut de pouvoir innover, il n’est peut-être pas interdit de copier la concurrence lorsque les idées sont bonnes.

Réponse : Les blocages VAD et international sont disponibles sur la BAM dans l’application « ma carte » mais pas la mise à 0 des plafonds.
Pour éviter de mettre la carte en opposition, le temps de la retrouver, l’option Risque++ est disponible uniquement sur le PUCC contrairement à Orange Banque.

 7) SEMAINE 46, L’INFORMATIQUE EN BERNE 

Comment travailler dans de telles conditions ?
Comment oser nous parler d’IRC (Interruption Régulière du Computer) ?
Comment oser nous parler de satisfaction client ?
Comment oser nous parler d’objectif ?
Qu’allez-vous faire ?
Nous attendons des réponses précises à ces questions, dépassement d’horaire, atteinte d’objectif, satisfaction client…

Réponse : Une communication régulière a été faite par pop up et mail pour tenir le réseau informé ! Concernant les résultats commerciaux, connexion sera corrigée et pour la SEA le calcul le plus favorable entre neutralisation et utilisation réelle sera appliqué.
Les heures supplémentaires, les objectifs et la relation client, la direction n’y apporte aucune correction. Circulez, il n’y a rien à voir.

8) VIVEMENT OUTLOOK

Pouvez-vous nous indiquer des précisions sur la date pour l’ouverture d’Outlook à l’ensemble des salariés afin d’améliorer notre réactivité, efficacité, productivité, et notre satisfaction client ?

Réponse : Une réflexion est toujours en cours concernant l’ouverture à tous les métiers de la boite Outlook. Eptica doit rester privilégiée pour la gestion mail de la clientèle, avis de la direction et on se demande bien quel en est l’intérêt pour elle ?
Flicage, contrôle… À la fois les clients et les conseillers réclament au plus vite l’élargissement à tous de l’outil Outlook.

9) AMUNDI PME, TROP BIEN ? 

Comment justifier la disparition d’un produit performant et de l’augmentation des frais pour les versements programmés sur AMUNDI PME ?
Le CA s’interdit-il d’avoir des placements intéressants ?

Réponse : Il existe un manque de liquidité du fonds car les investissements dans les PME sont en quantité limitée.
Cette fermeture se fait-elle réellement dans l’intérêt des porteurs actuels ? On en doute au vu de l’augmentation des droits d’entrée pour éviter les nouvelles souscriptions en abonnement (5% de frais d’entrée au lieu de 2,5%).
Quelle information est prévue pour le client et avons-nous le droit de modifier les frais d’entrée en cours de vie sans avertir les clients ?
Que vont en penser nos clients et seront-ils très satisfaits ?
Que devons-nous proposer pour les PEA-PME en remplacement d’AMUNDI-PME ?
Est-il plus simple de souscrire les fonds de la concurrence ?

10) SUPPRESSION TLS… 
Ou comment trouver un moyen simple de mécontenter les clients Un Terminal Libre Service va être retiré d’une agence au motif que le nombre d’opérations n’est pas suffisant (encore un qui a du mal à faire ses objectifs !). Ça, c’était le motif de retrait première version puisque depuis, c’est le prix du papier qui serait en cause.
Combien d’appareils de ce type comptait le parc de la CR avant cette mesure de retrait ?
Combien sont menacés de disparition ? Il faut se souvenir que ces appareils ont été mis en place dans le cadre de l’externalisation de tâches précédemment effectuées au guichet et qui prenaient beaucoup de temps (éditions d’opérations, virements…).
Leur disparition pourrait avoir du mal à être acceptée par la clientèle. Sachant que ces automates sont installés depuis la fin du siècle dernier et donc certainement bien amortis, qu’ils ne tombent jamais en panne pour peu qu’on les approvisionne en papier et que leur retrait alourdirait l’activité à l’accueil, quel est réellement l’intérêt de cette suppression ?

Réponse : L’utilisation de ces automates diminue de 7% par an en moyenne, ce qui justifierait leur disparition programmée.
Avec de tels critères d’appréciation, on se demande comment des bornes MONEO ont pu rester aussi longtemps dans nos agences…
La direction considère qu’il n’y a pas de perte de service pour le client puisque toutes les fonctionnalités offertes par les TLS sont reportées sur les GAB.
Nous avons souligné que c’était déjà le cas avant le retrait envisagé des TLS et que les deux types d’automates cohabitaient sans avoir les mêmes utilisateurs.
La direction nous indique qu’elle va prendre le temps de regarder la situation de certaines agences et leur spécificité.
À suivre.

mercredi 15 novembre 2017

Réponses Délégués du Personnel Novembre 2017

Réunion du 9 novembre 2017

À l’issue de cette réunion, l’avis des délégués du personnel a été requis sur le calendrier des jours chômés pour l’année 2018. En plus de la proposition de la direction, les élus FO et CGT avaient demandé que soient ajoutés pour le siège le lundi 24 décembre ainsi que pour le réseau le mardi 14 août. Ce dernier a été incorporé aux jours chômés du réseau mais la direction n’a pas consenti à accorder au siège le lundi qui aurait fait la jonction entre le week-end et le jour de Noël. Nous nous sommes donc abstenus lors du vote.

1) QUE CHOISIR ?
En date du 28 septembre, des clients ont reçu de SOFINCO une offre de Prêt Perso jusqu’à 75000 euros au taux de 1,70%. Le 4 octobre une proposition leur a été adressée par le Crédit Agricole pour un Prêt à Consommer jusqu’à 50000 euros au « taux promotionnel » de 2,70%.
Ces deux offres, en moins d’une semaine, ne risquent-elles pas d’amener nos clients à se poser des questions, et nous à avoir du mal à y répondre ?
Réponse :
Les destinataires de ces deux offres sont à la fois clients de SOFINCO et CAAM.
Si en tant qu’employés de banque nous pouvons saisir les distinctions de ces offres, leur concomitance a par contre de quoi semer le trouble chez nos clients.
La direction a pris en compte notre remarque et fera remonter la demande d’harmonisation des offres entre nos services et notre filiale de crédit à la consommation

2) ANTICIPATION
Les nouveaux bordereaux de remises de chèques sont arrivés en agence en début de semaine 40 mais les agences qui ont été livrées cette même semaine de leur commande de fournitures se retrouvent maintenant avec un stock d’anciens modèles de bordereaux.
N’était-il pas possible d’anticiper le changement auprès des agences (quelle référence commander, les nouveaux bordereaux n’en comportant pas ?) et auprès de l’imprimeur pour limiter la fabrication de fournitures devenues obsolètes ?
Devons-nous effectuer une nouvelle commande spécifique et retourner les anciens bordereaux (voire les détruire) ou devons-nous utiliser jusqu’à épuisement du stock les anciens modèles que nous avons reçus et nous priver pendant un bon moment d’une évolution qui était attendue ?
Réponse :
La nouvelle procédure est parue dans l’actu métier du mois de septembre et une provision de nouveaux bordereaux a été envoyée aux agences. Ce document étant communautaire, il ne comporte pas de référence mais peut être commandé en Anjou Maine sous le n° 00179.
Le stock d’anciennes remises de chèques doit être utilisé mais pour bénéficier de l’évolution du traitement des remises déplacées, il faut veiller à laisser à disposition des clients les nouveaux bordereaux, particulièrement en période de fermeture des agences.
La nouvelle procédure est tout à fait satisfaisante tant en matière de suivi des remises déplacées scannérisées que sur le délai de crédit en compte.

3) AIRBUS BANCAIRE/ACQUISITION À L’ÉTRANGER
Le Crédit Agricole vient de manifester son intérêt pour le rachat de la participation de l’État allemand dans la COMMERZBANK alors que BNP Paribas s’était déjà mise sur les rangs. Les clients qui ont pris connaissance de l’information relayée sur le site CA Investore par une dépêche du 9 octobre citant le directeur général du groupe Crédit Agricole s’interrogent, et nous aussi.
L’option est-elle sérieusement envisagée ou cette position n’est-elle destinée qu’à rendre la monnaie de sa pièce à notre concurrent pour le mauvais tour qu’il nous avait joué à l’occasion de la cession du Crédit Lyonnais ?
Réponse :
La question n’a pas été traitée par la direction qui y apportera cependant une réponse.
Nous avons insisté sur l’importance que revêtent les informations que nous diffusons, notamment par le canal du site Investore dont les clients sont plus attentifs à ce type de déclaration. Il nous parait préférable de différer une publication plutôt que de devoir la démentir.

4) ALIMENTATION CET
L’alimentation du CET est accessible par SIRH’Us, Gestion Administrative, Absences, Demande de transfert au CET.
L’accord d’entreprise n° 104 sur le CET de la CRAM prévoit que les dispositions spécifiques accordées aux salariés de 55 ans et plus soient soumises aux mêmes modalités d’affectation que dans le cas général. Cependant un blocage du système informatique existe lorsque le cumul de 78 heures est atteint et il semble donc qu’une correction doive être apportée à l’un ou à l’autre.
Réponse :
L’accord prévoit un CET spécifique pour les salariés de 55 ans et plus. L’ouverture se fait lors de la première alimentation du compte et 7 jours maximum par an peuvent y être placés.
La RH doit créer et gérer manuellement ce CET spécifique car SIRH’Us ne permet pas de le faire.

5) CONTINUITÉ DE SERVICE
Lorsqu’un client détenant une carte sociétaire cède ses parts sociales, le renouvellement à échéance est déprogrammé.
Pour simplifier et sécuriser le traitement, une solution informatique peut-elle être automatisée (renouvellement par une carte non sociétaire de même niveau ou envoi d’un courrier lors de la cession des parts sociales) ?
Réponse :
La carte sociétaire ne peut être proposée qu’à un client qui souscrit ou détient déjà des parts sociales et doit être transformée en non sociétaire lors de la vente des PS.
La direction nous répond qu’aucun développement n’est prévu pour automatiser le changement de carte. Il nous semblerait quand même plus simple et plus sûr que le lien qui existe à la souscription entre la carte et la détention de parts sociales (impossibilité d’établir une carte sociétaire si le client ne l’est pas) soit également actif lors de la liquidation totale des parts sociales.

6) ADE CONCURRENCE
Nous nous attendons au 1er janvier à une attaque importante de certaines mutuelles et assurances qui souhaitent récupérer nos contrats ADE (sauf annulation de la loi Sapin 2 par le conseil constitutionnel).
Après les formations que nous avons eues pour la nouvelle ADE, les informations ne sont pas rassurantes pour conserver nos encours…
Nous proposons de calmer les ardeurs de nos concurrents en nous alignant durant les premiers mois sur tous leurs tarifs à garanties équivalentes. Les clients feront rapidement le choix de rester au CAAM plutôt que de se perdre en formalités administratives en partant à la concurrence.
Selon nous, la concurrence devrait arrêter d’envoyer des dossiers si aucun client ne part chez elle, mais pour cela il va falloir être agressif commercialement !
Nous vous remercions de ne pas nous faire revivre la même perte de temps et de PNB que durant les rachats immobiliers externes.
Réponse :
Les formations ont été délivrées depuis le 26 septembre, l’objectif étant de mettre en avant les garanties de nos contrats et d’effectuer la mise à niveau des connaissances des conseillers.
L’offre ADE est un élément incontournable dans le prêt immobilier.
L’adossement NH avec le prêt immobilier doit permettre d’éviter aux concurrents de nous attaquer.
À partir du 1er janvier 2018, pour répondre aux attaques de la concurrence, nous disposerons de leviers : garanties complémentaires ou décote de cotisation.
Qui va traiter les demandes ? Le réseau ou le service ADE… Nous attendons des précisions sur ce dernier élément.

7) CRÉDIT IMMOBILIER-OFFRE CA TOI
Les clients qui bénéficient de l’offre CA TOI ont une exonération automatique des frais d’IRA (hors rachat concurrence). Pourtant les conseillers doivent cocher dans la fiche consigne « EXO IRA Offre CA TOI ».
Il serait plus simple pour éviter tout oubli et tout litige avec le client dans les prochaines années de valider automatiquement l’EXO d’IRA si le plan de financement comporte un prêt CA TOI.
Réponse :
Réponse de la direction : l’offre CA TOI n’est pas communautaire, nous ne pouvons pas automatiser l’exonération d’IRA.
Réponse de RCC : l’exonération d’IRA dans le cadre de l’offre CA TOI est validée d’office par RCC même dans le cas où le conseiller n’a pas coché l’option. S’agissant d’un traitement manuel, un oubli peut cependant toujours arriver.

8) LES AUTOMNALES
Nous souhaitons connaître le nombre de personnes qui ont fait le déplacement et le budget dépensé pour cette réunion managériale.
Réponse :
204 personnes ont participé au voyage à Bruxelles.
Le budget n’est pas communiqué car il ne relève pas des compétences des DP.
Notre réponse : 204 personnes x 2 nuits + repas + visites + déplacement. N’ayant pas de réponse précise, nous estimons à 1500 euros minimum par personne ce beau voyage mais nous sommes sûrement en dessous de la réalité.
Heureusement quelques directeurs ont partagé avec leurs équipes des chocolats belges, encore merci à eux.
Notre estimation : 306 000 euros pour ce moment de convivialité.

9) QUAND LA JOURNÉE N’EST PAS EXTENSIBLE…
Un collègue nous a informés que son responsable lui demande de travailler pendant sa pause du midi pour traiter ses instances, son administratif, faire des rendez-vous… et bien sûr il n’est pas question de déclarer les heures effectuées.
Nous vous remercions d’effectuer un rappel aux managers concernant les heures supplémentaires et à quoi sert la pause du midi.
Réponse
Il ne s’agit pas des règles applicables par l’entreprise, il y a des heures à respecter !
Le responsable peut demander à titre exceptionnel de faire des heures supplémentaires et il faut absolument les déclarer dans l’outil SIRH’Us.

10) AMUNDI-VIE EN PÉRIL ?
Lors de récentes formations et web conférences, il semble que la préconisation d’orientation vers AMUNDI-VIE soit de moins en moins recommandée.
Quelle en est la raison (éventuelle remontée des taux !!!) et surtout comment les conseillers doivent-ils prendre en compte ce revirement alors même que ce placement était vivement recommandé au regard de la SÉCURITÉ qu’il présentait dans le cadre de la diversification ?
Réponse :
AMUNDI-VIE rentre dans le cadre d’une démarche d’approche globale du client, suivant la stratégie et l’âge du client. Risque de niveau 3, rendement de 3,7% sur 2017, préconisé pour les plus de 75 ans.
Nous restons inquiets sur le devenir de ce placement, considérant qu’à de nombreuses reprises par les web conférences d’Amundi et autres formations, AMUNDI-VIE ne figurait plus dans les conseils de diversification. Les éventuelles variations de taux obligataires risquent effectivement d’avoir un impact négatif sur le cours de cette valeur.
Nous attendons des précisions nous permettant de contacter nos clients avant de nouvelles déconvenues (voir AMUNDI-PATRIMOINE).

11) PREDICA AU RABAIS
Lors de la reprise des saisies PREDICA (le mercredi au lieu du mardi), le taux de chargement sur versement restait bloqué à 0% !
Un message est intervenu le … lendemain pour nous « informer » de ce dysfonctionnement… Comment cela peut-il arriver ? Des fonctionnalités aussi importantes ne sont-elles pas testées ? Quelles ont été les conséquences ?
Réponse :
Le mardi ça ne marchait pas et le mercredi le taux était figé à 0% de frais de chargement mais Prédica a en effet communiqué … le lendemain.
Les tests pratiqués n’auraient pas permis de détecter d’erreur avant la mise à jour mais nous ne savons pas exactement quelle est la nature des contrôles effectués.

12) P.F.U.
Alors que la presse en parlait tous les jours, que nos clients nous interrogeaient quasi quotidiennement, nous regrettons que les conseillers se soient trouvés en manque d’informations pendant trop longtemps. Ce type d’infos liées à la fiscalité aurait mérité un traitement plus performant.
Réponse :
Le 1er flash a été diffusé le 12 octobre.
La direction invoque la prudence avant le vote définitif de la loi de finance, des amendements pouvant encore venir la modifier d’ici la fin de l’année, mais le fait est que les clients avaient des informations de la part de la concurrence ou de la presse alors que les conseillers au CAAM n’avaient toujours pas les moyens de les renseigner.
Notre question a permis que mardi 7 novembre en RAC, un bagage complet soit présenté sur les modifications.

mardi 14 novembre 2017

Explication Forfait Jours

Le forfait jours permet à l'entreprise de proposer d'effectuer un travail avec un nombre de jours effectif dans l'année.
C'est à dire qu'il n'y a plus d'horaire à respecter en théorie et que chacun doit remplir ses objectifs "grâce" à l'amplitude de ses horaires.
La plupart d'entre nous sommes à 39h avec RTT et nous devons réaliser au mieux nos objectifs mais nous n'avons pas à faire des heures supplémentaires (non déclarées...) pour les atteindre.

Le forfait jours a été modifié par les ordonnances de la loi travail XXL.

La mise en place d'un forfait jours impose 2 conditions cumulatives :
- un accord collectif d'entreprise ou de branche valide et signé avant la conclusion d'une convention individuelle de forfait.
- un avenant ou une convention de forfait écrite

Pour être valable, l'accord doit prévoir :
- les catégories de salarié (e-s) éligibles 
- le nombre de jours travaillés sur l'année (maximum 218 jours non dérogeable)
- les clauses d'encadrement afin de garantir un contrôle de la charge et de la durée de travail.

Auparavant, lorsque l’employeur souhaitait modifier un élément essentiel du contrat de travail (notamment la rémunération et la durée du travail), il devait obligatoirement recueillir l’accord du salarié-e.
Depuis le 23 septembre, l’ordonnance relative au renforcement de la négociation collective
prévoit de mettre en place un nouveau type d’accord ayant pour objet de « répondre aux nécessités liées au fonctionnement de l’entreprise ou en vue de préserver, ou de développer l’emploi ». 
Ce dispositif permet d’aménager la durée du travail, ses modalités d’organisation et de répartition, d’aménager la rémunération et de déterminer les conditions de la mobilité professionnelle ou géographique interne à l’entreprise. 
Le texte précise que « les stipulations de l’accord se substitue de plein droit aux clauses contraires et incompatibles du contrat de travail » (Article L2254-2 du code du travail).
En clair, ces modifications bouleversent les conditions de travail des cadres en forfait-jours. Il sera possible, par accord d’entreprise, d’imposer au salarié-e l’augmentation du nombre de jours travaillés par an (et donc de réduire le nombre de jours de RTT), de diminuer le salaire, d’imposer une mobilité,
etc... car le contenu de l’accord d’entreprise primera sur la convention individuelle de forfait-
jours (contrat de travail).

Dorénavant, les ordonnances de la loi travail XXL modifient les règles consécutives au refus du salarié-e de ces changements.
Auparavant, le refus de modification du contrat de travail ne pouvait en aucun cas engendrer une quelconque sanction. L’employeur devait alors renoncer à son projet de modification du contrat, ou bien engager une procédure de licenciement en justifiant sa demande de modification du contrat (Cass. soc., 30 mai 2007, n° 05-41802).
Le salarié pouvait alors saisir le Conseil de Prud’hommes afin de contester le bien-fondé de son licenciement et prétendre à l’octroi de dommages et intérêts pour licenciement sans cause réelle
et sérieuse, dans le cas où l’employeur ne pouvait apporter la preuve d’une cause ayant rendu nécessaire la proposition de modification du contrat de travail.
Depuis le 23 septembre, en cas de refus de modification de son contrat de travail suivant les stipulations de l’accord d’entreprise ou d’établissement, le/la salarié-e devra alors faire connaitre à l’employeur son refus, par écrit, dans un délai d’un mois « à compter de de la date à laquelle ce dernier a communiqué dans l’entreprise sur l’existence et le contenu de l’accord » (Article L2254-2 du code du travail). Pour autant, en cas de refus du salarié, l’employeur pourra engager une procédure
de licenciement. Celui-ci reposera sur une cause réelle et sérieuse posée par la loi, fermant ainsi une éventuelle saisine du Conseil de Prud’hommes afin de contester le licenciement.

EN CONCLUSION, L’ACCORD D’ENTREPRISE PRIMERA SUR L’ACCORD DU SALARIÉ
Avec les ordonnances de la loi travail XXL, si l’employeur désire effectuer la modification d’un élément essentiel du contrat de travail, il n’est plus tenu de recueillir l’accord du salarié.

Merci à nos camarades de L'UGICT pour cette analyse.

Les salariés du privé......encore mis à contribution

Le montant des pensions de retraite du privé  pourrait baisser à partir de 2019.

les retraités du secteur privé ont été impactés par la hausse de 1,7 point  de la CSG !
mais ce n'est pas fini :
les partenaires sociaux négocient les règles d'un nouveau système de retraite complémentaire (entrée en vigueur au 1er janvier 2019)

Le Parisien a révélé que le nouveau système issu de la fusion de l'AGIRC et de l'ARCCO pourra ajuster de manière quasi automatique l'un des facteurs de calcul de la pension, en fonction de l'état des finances du système. il s'agit de la "valeur de service du point", et ce facteur représente pour les salariés du privé plus de la moitié du montant  de la pension totale.

Même si l'idée est louable, (volonté d'éviter les déficits sans augmenter les cotisations des employeurs et des salariés), c'est encore les retraités qui vont subir une baisse de leur retraite.

Les pensions déjà perçues par nos retraités pourront baisser de 9% (estimation réalisée par la CGT)

Si chaque entreprise payait ces cotisations sans utiliser tous les mécanismes de déduction, les déficits seraient inexistant.

Chers retraité(e)s , ne vous laissez pas faire, mobilisez vous le 16 novembre....


Mobilisation interpro du 16/11 suite .... lieux et dates à retenir

Rejoignez nous pour manifester !

LAVAL      10H30 Place de la Tremoille
ANGERS  10h30 Place Leclerc
CHOLET  10h30 Place Travot
SAUMUR 10h30 Place Bilange
LE MANS 10h00 Palais des Congrés

Vous pouvez poser, une heure, une demi-journée, une journée.
Alors que les conditions de travail dans nos secteurs n’ont jamais été aussi mauvaises, Les ordonnances imposent la suppression des CHSCT (comité d’hygiène de sécurité et des conditions de travail).

Alors que nous travaillons toutes et tous en sous-effectif quasi permanent, les ordonnances facilitent les licenciements.

Alors que les licenciements pour des erreurs sans conséquences pour les entreprises se multiplient et que les salarié-e-s n’ont plus droit à l’erreur, les ordonnances plafonnent les indemnités de licenciement.

Alors que nos salaires n’ont pas augmenté depuis de nombreuses années, et que des salarié-e-s ne gagnent pas assez pour faire face aux dépenses incompressibles, les ordonnances offrent la possibilité aux employeurs de baisser les rémunérations.

Jusqu’à quand allons-nous accepter l’inacceptable ?
Il est temps de dire stop à ces politiques de régressions sociales pour les salarié-e-s.
Ce ne sont pas les actionnaires qui font la richesse de nos entreprises mais les femmes et les hommes qui y travaillent.

Mobilisation interprofessionnelle du 16 novembre 2017







mardi 7 novembre 2017

Nouvel investissement pour le Crédit Agricole !

Une opportunité à ne pas rater !

Indosuez Wealth Management, Filiale du groupe Crédit Agricole, a annoncé le rachat de Banca Leonardo, banque italienne spécialisée dans la gestion de fortune. Le montant du rachat n'est pas communiqué à ce jour.

Banca Leonardo gére 5.9 milliards d'euros d'actifs.

Ce rachat fait suite au rachat d'Amundi de l'italien Pioneer pour 3.5 milliards d'euros en 2016.

jeudi 2 novembre 2017

Orange Bank, le départ !

Orange Bank lance son offre le 2 novembre 2017.

Une offre assez spécifique qui ne pourra pas satisfaire tout le public visé par Orange Bank.

- Une carte bancaire sans conditions de revenus mais avec une obligation d'utilisation minimum 3 fois par mois, sinon le coût mensuel est de 5 € (pour information BforBank demande uniquement 3 utilisations trimestrielles).

- Orange n'est pas une banque, Orange a acheté Groupama Banque pour bénéficier de l'agrément bancaire. La montée en compétence des conseillers ne se réalisera pas en quelques mois.

- Orange Bank ne propose pas de compte joint, cela va être contraignant pour beaucoup de personne en couple, colocation...

- Une application mobile qui doit permettre de faire toutes les opérations.

- Pas d'épargne réglementée pour le moment, uniquement un livret actuellement boosté à 1% brut (soit 0.70% après FlatTax)

- Un réseau de 140 agences à ce jour pour la France, des boutiques Oranges Bank formées pour l'ouverture de compte mais aucune opération ne sera possible.

Une nouvelle offre qui pourra convenir à certain, une envie d'être rentable rapidement sachant que les banques en ligne ne sont pour l'instant pas rentable et toutes sous perfusion de leur maison mère.

lundi 16 octobre 2017

C'est rentable une banque en ligne ?

24 Millions pour Boursorama Banque
21.2 Millions pour Orange Bank (Groupama Banque)
17.3 Millions pour BforBank
13 Millions pour Axa Banque
6  Millions pour Monabanq

Ce n'est pas le montant des bénéfices des banques en lignes mais bien les pertes !!!

Plus de 80 millions, c'est le montant des pertes cumulées des banques en ligne en 2016.

Seul Fortunéo, Filiale du Crédit Mutuel Arkéa réalise un bénéfice de 9 millions

Le Groupe Crédit Agricole (enfin les Caisses Régionales) prévoit déjà une augmentation de capital pour Bforbank...

Il faut arrêter de faire peur aux salariés avec les banques en lignes, celle-ci ne sont pas rentables et il y a toujours une vrai banque derrière pour combler les pertes.

La valeur ajoutée et les bénéfices qui servent à financer les banques en lignes sont bien crées par les salariés des banques de détail.

Combien de temps les banques de détail vont investir pour gagner des parts de marché sur les banque en ligne ?

jeudi 12 octobre 2017

Encore une nouvelle Néobanque : Révolut

Le compte Nickel, N26, C-ZAm et bientot Orange Bank... Les néobanques nous envahissent !

En écoutant nos Dirigeants les banques ne gagnent plus d'argent ;-) cependant de nouveaux acteurs arrivent sur le marché bancaire (et je ne pense pas que c'est pour un but philanthropique).

Révolut revendique 150 000 clients en France sans publicité pour l'instant.

La gestion se réalise uniquement via une application et un site web.

Revolut s'adresse principalement aux voyageurs mais pas uniquement comme le précise Maxime Bensadoun (Porte parole de la marque en France).

Les principales tarification de Révolut :
- Réception et Virements internationaux gratuits jusqu'à 5000€ mensuel
- Carte à contrôle de solde avec possibilité de retirer (max 200€ mensuel au delà 2% de frais) et payer à l'étranger  sans frais.
- Fabrication et envoi de la carte 6€
- Pas d'abonnement annuel
- Pas de frais d'inactivité

Un compte simple d'utilisation et  pratique pour les voyageurs avec peu de frais de fonctionnement.

A quand une offre valable pour nos expatriés... et pas uniquement pour les étudiants...


jeudi 28 septembre 2017

Fiscalité 2018 PEL et CEL

Le projet de loi de finance 2018 vient de décider de supprimer indirectement le PEL et le CEL

A compter du 1er janvier 2018, les PEL et CEL ne bénéficieront plus des primes d'Etat en cas de prêt.

La fiscalité est également modifiée pour les futurs PEL et CEL car les intérêts seront soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% (12,80% + 17.20% de Prélèvements sociaux) ou  à l’impôt sur le revenu + 17.20% de PS.

Aujourd'hui, un PEL dont la rémunération est de 1% brut.
Le taux net acquis sera en fonction du choix fiscal soit PFU ou impôt sur le revenu.
Si l'option PFU est choisie, le taux net sera de 0.70%  pour les clients dans une tranche supérieure à 14%. Ce taux sera un taux inférieur au Livret A de 0.75% (taux du livret A bloqué pour les 2 prochaines années).

Avec un taux net en baisse, une obligation de versement, et l'absence de prime... le PEL en phase d'épargne sera moins attractif.
La phase de prêt épargne logement pourrait devenir avantageuse en cas de remontée des taux.

mercredi 20 septembre 2017

Mobilisons nous le 21 septembre 2017




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Venez manifester le jeudi 21 septembre
                                                   Toujours et encore,
Pour dire NON à la loi travail XXL.
 Il en va de votre avenir et de celui de vos enfants.

Rien a changé, cette loi a toujours pour but de casser le code du travail qui, jusqu’à ce jour, représente le socle minimum de vos droits, les conventions collectives et accords locaux ne pouvant apporter que plus de droits. La loi Travail propose tout simplement de pouvoir « négocier » au niveau de l’entreprise des droits inférieurs au code du travail.
Seule la mobilisation des salariés peut aboutir au retrait du projet de loi.

Mobilisez-vous !

Jeudi 21 septembre
venez nombreux défendre vos intérêts,
venez manifester.



Le Mans :       Place de la préfecture           10 h 00
Angers :         Place Leclerc                         11 h 00
Cholet :           Place Travot                          10 h 30
Saumur :        Place Bilange                        10 h 30
Segré :            Rond point Super U              11 h 00


Le droit du travail vous protège.
Ainsi, si vous souhaitez manifester pour défendre vos droits de salarié, vous pouvez poser une journée, une demi-journée, voire une heure de grève.
Rendez-vous sous la bannière du syndicat de votre choix.



vendredi 11 août 2017

Enquête "conditions de travail" suite Verbatim

                                    VERBATIM suite enquête "conditions de travail" 7

·         Pas de soucis sur la disponibilité mais les nuits sont perturbées à cause du travail.
Outre la charge de travail, c’est aussi la pression clientèle qu’il faut gérer

·         Trop de route, Activité subie liée à la nouvelle organisation BPH, nombre  de clients par portefeuille trop important, diminution du personnel mais toujours autant de clients.

·         En plus des  RDV, nous avons une masse de choses à penser, à traiter (débiteurs, Atourisk, pilotéo, connexion, gestion des contacts, eptica, outlook, information  « à la une » + « mon métier » ……..


·         Souvent je rentre trop tard pour être disponible, mes enfants ont déjà mangé, voire sont déjà couchés…… Le métier de conseiller pro est négligé, la charge de travail est énorme, il faut tout faire. Ce métier fait peur, y compris à l’encadrement, et ne donne pas envie aux vocations pour les autres métiers

·         Je suis à la fois soulagé et déçu : soulagé car si cette enquête existe, c’est que je ne suis pas le seul à ressentir un mal être au travail. Cette pression de la charge de travail, des résultats, de « bien faire du 1er coup » sont donc bien réels.
Déçu de voir que d’autres collègues peuvent ressentir les mêmes choses : pression, fatigue morale mais aussi physique (nuits perturbées), perte de confiance en soi et que l’entreprise n’entende pas notre mal-être.

·         Nous sommes à 2 soirs à 19h + 18h15 les autres soirs. Comment faire avec des enfants (péri scolaire + gestion du quotidien. Aucune prise en considération des obligations personnelles. On nous change nos métiers (CCA -> CDP) changement d’horaire (18h-> 19h) et on diminue voire supprime les temps partiels…. Et quand on écrit au siège pour évoquer nos difficultés (ex changement d’horaire) aucun retour !
Si on veut gagner en efficacité, il faut peut-être voir du côté informatique plutôt que toujours du côté salarié.


vendredi 4 août 2017

VERBATIM

                                 VERBATIM suite enquête "conditions de travail" 6

·         Arrêter de toujours vouloir faire « mieux » alors que faire « bien » c’est déjà pas mal… Objectifs trop élevés : 30% de parts de marché c’est correct, non ?

·         Beaucoup trop de boulot en agence, beaucoup trop d’objectifs, toujours faire plus !!!


·         Changement de métier depuis février 2017 (du réseau vers siège) = plus sereine, tant au travail qu’à domicile
·         Aujourd’hui, je ne fais pas d’heures supplémentaires car j’arrive à prendre du recul, ma charge de travail est conséquente mais je priorise. Surtout que depuis le 31/03/17 je suis toute seule sur le poste ,nous n’avons évidemment plus d’assistant quand je suis arrivée sur l’agence en 2011 nous étions 4 sur la ligne d’accueil…
Les objectifs n’ont pas baissé et la charge de travail non plus. La RH n’arrive pas à recruter d’agent d’accueil.


·         Ce n’est pas la 1ere enquête que je compléte sur nos conditions de travail. Le constat est toujours le même (voire s’aggrave).
Les clients sont impatients, intolérants, les actes d’incivilités se multiplient.
Nos process sont lourds : 5 signatures pour une renégo sur 1 prêt pro, nous perdons beaucoup de temps et d'énergie à faire, refaire, rendre compte du temps et de l’énergie que nous devrions consacrer à nos clients.


·         Manque de personnel face à la masse de travail et au formalisme administratif
Trop de temps perdu à chercher des réponses auprès de différents services du siège ou sous comméo (trop d’informations éparpillées)


·         Habitat conseil : c’est une activité très soutenue, ce sont les courtiers qui commandent maintenant

·         Nous manquons de personnel sur mes deux agences, nous sommes constamment sollicités tel/ accueil, impossible de faire le travail dans le temps de travail imparti.



·         Dans la pratique, je dois répondre à toutes les demandes à peu près de mon portefeuille primaire allant de virement à l’étranger au suivi des déblocages de prêt, modification de plafond carte jusqu’à du VRAI CONSEIL quand il reste du temps !

vendredi 28 juillet 2017

VERBATIM

                              VERBATIM suite enquête "conditions de travail" 5

·         Retrouver le niveau de salariées autour de 2000. Pour retrouver de la sérénité du travail.

·         Plus de salariés au sein des agences 1- pour gérer les demandes des clients qui arrivent par mail et par téléphone.
2- ne pas supprimer les assistantes.


·         Manque d’effectif

·         Plutôt que de créer un nouveau poste de « responsable du bonheur » il faut plutôt mettre à nouveau du renfort dans les agences et arrêter de supprimer des postes.


·         Adapter la charge de travail au temps de travail,
Démocratiser  la déclaration des heures supplémentaires (encore trop de craintes des collègues et encore plus quand on veut évoluer, c’est mal vu)
Insistance de certains DA pour dire qu’il ne faut plus faire d’heures mais pas de solution pour améliorer les conditions de travail. La situation devient critique dans les métiers d’expertise dans toutes les agences et de plus en plus prennent des comprimés pour dormir dont moi !
Travailler ENFIN avec des outils qui sont de plus en plus rapide !!! pas 2 h de travail sans dysfonctionnement, c’est invivable
Piloter ne doit pas devenir le déversoir de toutes les taches administratives.


·         Manque de performance de l’outil
Surcharge de travail liée aux différents outils : CONNEXION, PRO ACT, PILOTEO, Traitement quotidien, suivi Périodique, ATOUT RISK, EPTICA, OUTLOOK, etc

·         Il serait inimaginable de terminer tous les soirs à 19h pour une question d’organisation enfants/nourrisse. Et j’aimerai si possible voir mes enfants un peu plus du’1/2 heure par jour !!!!!!  ils ont aussi besoin de leur maman ! Soyons raisonnables !!

·         Le poste de conseiller clientèle va-t-il disparaître ? Le remplissage des plannings en RDV est de + en + difficile (sentiment général des conseillers ) et ce, depuis la réorganisation (beaucoup de nos clients sont partis dans les portefeuilles CDP) d’où un portefeuille CC appauvri (plus d’échus à traiter, etc etc) Est-ce une volonté de la Direction et dans quel but ?



vendredi 21 juillet 2017

VERBATIM

                                       VERBATIM suite enquête "conditions de travail" 4


·         Même si il y a des progrès dans les déclarations d’heures supplémentaires, il n’est pas difficile de faire constater à un inspecteur du travail les dépassements enregistrés sur les relevés mensuels (horaire siège) et les heures de sortie des agences le soir (voir même pendant les congés)
  


·         A l’heure actuelle, nos responsables sont « audités », nos réponses au vu des commentaires retranscris par notre responsable n’ont pas été interprétés  comme nous aurions souhaité. Devons nous bien faire confiance à tous le monde. Au bout de 35 ans de crédit agricole, notre métier  a évolué mais dans quel sens, bien ou mal.

·         1- On m’a fait la réflexion de partir trop tôt du travail.
2- on me dit que je ne donne pas assez à l’entreprise


·         Les attentes de nos clients HDG et notre disponibilité commerciale et administrative est en décalage. Il faut revoir les normes métiers par portefeuille et évaluer l’activité réelle par salarié afin d’ajuster la charge de travail entre ceux qui s’en ?? et les agents débordés qui prennent un risque permanent d’image et d’erreur.
Les études patrimoniales et les e learning sont faits à la maison (5h / mois)


·         Subir l’activité-Subir l’activité des absents (arrêts)
Subir les décisions de la hiérarchie sur notre métier.


·         Je pense qu’il serait bon d’ajuster les horaires en fonction des métiers. Réduction de la pause du midi (1h30 dans notre agence) pour commencer plus tard ou finir plus tôt. Avoir accès à nos dossiers à distance pour pouvoir faire des instances en dehors du bureau (finir plus tôt ou commencer plus tard mais faire une part de télétravail

·         Nous permettre d’avoir du temps et donc plus de moyens humains.



vendredi 14 juillet 2017

VERBATIM

VERBATIM suite enquête "conditions de travail" 3

·         Au regard des futures mutations de nos métiers, je trouve que l’entreprise ne communique pas assez sur ces futures problématiques. Quels choix vont être fait ? Quels futures métiers ? l’entreprise va-t-elle continuer à ajouter de la charge de travail aux agences (Pilotéo, ADE…)
L’entreprise a-t-elle en projet de se séparer des salariés moins performants commercialement parlant.
·         Suggestions : couper les postes de travail entre 12h et 14h ou badger pour déclarer automatiquement nos heures supplémentaires.

·         A quand le retour aux valeurs humaines, nous sommes psychologiquement usés mais rien ne change.
Il y a des soirs pas de disponibilité pour les proches car il y a beaucoup de pression et après le travail il faut gérer la famille donc pas de moment pour se poser.


·         Notre rythme de travail se ressent sur le bien être de nos enfants, est ce normal ?
42 h minimum de nounou, est ce normal ?
Il n’est pas envisageable de finir à 19 h au quotidien, je me verrai dans l’obligation de quitter le crédit agricole pour le bien être de ma famille.


·         On ne se retrouve plus dans les valeurs de l’entreprise. L’humain n’est plus au cœur des choix de la direction. De plus en plus de travail, de pression et de moins en moins de myens humains, des soucis informatiques à répétition.

·         La plupart des grands groupes veillent aujourd’hui à améliorer les conditions de travail de leurs salariés (horaires plus souples avec parfois RTT sup…) et le CA en proposant une fermeture quotidienne à 19h va à l’inverse de cela. Si la volonté est d’élargir les horaires à la clientèle, pourquoi ne pas faire du continu 8h19h avec 2 équipes ? cependant, la clientèle a-t-elle émis ce souhait ??? A 1700€ par mois, à 19h tous les soirs… il faudra s’attendre à renouveler les effectifs car l’herbe est sans doute plus verte ailleurs dans ces conditions…


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