jeudi 27 septembre 2018
jeudi 20 septembre 2018
#CGTENLUTTE – Lutte gagnante à la COVED
#CGTENLUTTE – Lutte gagnante à la COVED (14) : Les salariés avec la CGT gagnent la réintégration des salariés
Rappel des faits : fin Janvier, la direction décide de procéder à la mise à pied conservatoire de 3 salariés pour faute grave, 2 sont alors licenciés.
La procédure de licenciement pour le troisième salarié nécessitait une enquête de l'inspection du travail puisqu'il était protégé par un mandat de conseiller de salarié CGT. C'est alors le début d'une succession de réhabilitations.
À l'issue de l'enquête, l'inspection du travail a donné gain de cause à notre camarade, sur la base des témoignages des salariés de l'entreprise et des défaillances de l'employeur en matière de formations et d'informations.
S’ensuit la réintégration des 2 salariés licenciés, sur injonction du conseil des prud'hommes, sous astreinte provisoire de 1 000 €/jour de retard à l'issue d'un délai de 10 jours.
C'est avant tout une victoire collective que les salariés, avec la CGT ont mis en œuvre, les employeurs n'ont pas tous les droits.
Rappel des faits : fin Janvier, la direction décide de procéder à la mise à pied conservatoire de 3 salariés pour faute grave, 2 sont alors licenciés.
La procédure de licenciement pour le troisième salarié nécessitait une enquête de l'inspection du travail puisqu'il était protégé par un mandat de conseiller de salarié CGT. C'est alors le début d'une succession de réhabilitations.
À l'issue de l'enquête, l'inspection du travail a donné gain de cause à notre camarade, sur la base des témoignages des salariés de l'entreprise et des défaillances de l'employeur en matière de formations et d'informations.
S’ensuit la réintégration des 2 salariés licenciés, sur injonction du conseil des prud'hommes, sous astreinte provisoire de 1 000 €/jour de retard à l'issue d'un délai de 10 jours.
C'est avant tout une victoire collective que les salariés, avec la CGT ont mis en œuvre, les employeurs n'ont pas tous les droits.
mercredi 19 septembre 2018
#CGTENLUTTE - Elections gagnantes dans l’entreprise « Vendée Mécanique Industrie » (VMI) (Métallurgie)
#CGTENLUTTE - Elections gagnantes dans l’entreprise « Vendée Mécanique Industrie » (VMI) (Métallurgie)
« Spécialisée dans les domaines de la conception, fabrication et installation de solutions de mélange pour les métiers de bouche (boulangerie, pâtisserie et viennoiserie): batteurs et pétrins pour les boulangeries artisanales, chaînes de boulangerie et boulangeries en grande distribution, systèmes de pétrissage et de mélange pour l'industrie de la boulangerie, mélangeurs et pétrins pour la restauration professionnelle : cafés, hôtels, restaurants et collectivités ».
Le 5 juillet 2018, c’était la première fois que la CGT se présentait aux élections dans cette entreprise avec une Cfdt majoritaire avant les élections.
Résultat des élections :
§ 1er collège : sur 118 inscrits la CGT réalise un score de 79,45%, Cfdt 20,54%
§ 2ème collège : sur 53 inscrits CGT 79%, Cfdt 20,83%
§ 3ème collège : sur 62 inscrits, 100% CGT
Ces résultats, 1er, 2ème et 3ème collège confirment que la Vendée est aussi une terre de luttes où les salarié-e-s aspirent avec la CGT au progrès social.
Saluons comme il se doit l’investissement militant des camarades de la CGT « Vendée Mécanique Industrie » et de l’Union Syndicale des Travailleurs Métallurgie CGT Vendée qui ont su convaincre les salarié-e-s, à force de déploiements, de la nécessité de se syndiquer à la CGT, de construire une liste CGT aux élections professionnelles et de voter massivement CGT.
Cette victoire en appelle d’autres……
jeudi 13 septembre 2018
#CGTENLUTTE - SNCF
Lutte gagnante : le conseil des prud’hommes de Montpellier exige la réintégration d’un cheminot
La répression syndicale se poursuit chez les cheminots avec de nombreux camarades poursuivis par la direction pour des faits qu’ils n’ont pas commis.
Cela a été encore le cas le 14 mai dernier dans la gare de Nîmes, où lors d'une opération de blocage, un des cheminots a allumé un fumigène sur les voies.
Accusé d'être à l'origine de plusieurs retards de train, le cheminot est susceptible d'être licencié pour faute grave. Après un conseil de discipline et une assemblée extraordinaire de la direction de la SNCF, la CGT Cheminots
a demandé l'arrêt immédiat de la procédure de sanction.
Durant tout l’été la mobilisation s’est poursuivie, une pétition a recueilli des milliers de signatures (près de 10 000).
Jeudi dernier, le jugement est tombé, le tribunal des prud’hommes est favorable à la réintégration dans son service (établissement infra logistique) de la SNCF de Nîmes. Si la SNCF ne s'exécute pas sous huit jours, elle s'expose à une astreinte de 1 000 euros au quotidien, une décision maintenue en cas d'appel.
C’est un nouveau camouflet cinglant pour la direction de la SNCF. La CGT appelle à poursuivre la mobilisation aussi sur cette question le 27 septembre, jour où la DIRECCTE se prononcera concernant l’autorisation de
licenciement.
La répression syndicale se poursuit chez les cheminots avec de nombreux camarades poursuivis par la direction pour des faits qu’ils n’ont pas commis.
Cela a été encore le cas le 14 mai dernier dans la gare de Nîmes, où lors d'une opération de blocage, un des cheminots a allumé un fumigène sur les voies.
Accusé d'être à l'origine de plusieurs retards de train, le cheminot est susceptible d'être licencié pour faute grave. Après un conseil de discipline et une assemblée extraordinaire de la direction de la SNCF, la CGT Cheminots
a demandé l'arrêt immédiat de la procédure de sanction.
Durant tout l’été la mobilisation s’est poursuivie, une pétition a recueilli des milliers de signatures (près de 10 000).
Jeudi dernier, le jugement est tombé, le tribunal des prud’hommes est favorable à la réintégration dans son service (établissement infra logistique) de la SNCF de Nîmes. Si la SNCF ne s'exécute pas sous huit jours, elle s'expose à une astreinte de 1 000 euros au quotidien, une décision maintenue en cas d'appel.
C’est un nouveau camouflet cinglant pour la direction de la SNCF. La CGT appelle à poursuivre la mobilisation aussi sur cette question le 27 septembre, jour où la DIRECCTE se prononcera concernant l’autorisation de
licenciement.
lundi 10 septembre 2018
Réforme des retraites
Que cache le Gouvernement ?
1€ COTISÉ = LES MÊMES DROITS À RETRAITES. OUI, MAIS QUELS DROITS ?
Emmanuel Macron a annoncé qu’ 1€
cotisé ouvrirait à chaque salarié.e les mêmes droits. Derrière cette apparente
équité se cachent trois problèmes.
- D’abord le calcul de la retraite
ne se ferait plus sur les 25 meilleures années mais sur l’ensemble de la
carrière.
- Ensuite, les mécanismes de
solidarité qui neutralisent les aléas de carrière (chômage, maternité...)
pourraient être plafonnés, voire totalement supprimés.
- Surtout, ce principe d’équité
ne nous dit rien sur le contenu de nos droits à retraite. Que représentera le
montant de la pension par rapport au salaire de fin carrière ? Quel montant de
retraite ? Quel âge de départ ?
Ce sont les questions de base que
nous nous posons toutes et tous. Et là-dessus aucune réponse. Et pour cause...
UN RÉGIME PAR POINTS, À COTISATION DÉFINIES, C’EST QUOI ?
Le gouvernement nous annonce un
régime par points, à cotisations définies. Qu’est-ce que cela signifie ? Que
chacun percevra en fonction de ce qu’il aura cotisé durant toute sa carrière,
mais que le montant de la pension ne sera pas garanti et ne sera connu
seulement qu’au moment du départ en retraite.
Ce qui est bloqué c’est le
montant des cotisations, que le gouvernement ne veut pas augmenter. Si elles ne
suffisent pas à financer les pensions, les retraites seront revues à la baisse.
Mais compte tenu de l’allongement
de l’espérance de vie, ce montant ne suffira pas : en conséquence, les
retraites seront réduites, y compris celles déjà liquidées.
La certitude que nous pouvons
donc avoir, c’est que nous serons toutes et tous perdants.
Le détail de la réforme n’a pas été dévoilé. Mais nous savons d’ores
et déjà que 3 facteurs nous pénaliseront directement.
- Le montant des pensions sera
calculé sur l’ensemble de la carrière, sur les 43 annuités cotisées, au lieu
des 25 meilleures années dans le privé et des 6 derniers mois dans le public.
Ceci pénalisera directement ceux
qui ont une progression de carrière.
- Pour les femmes: la double
peine. Les femmes sont payées en moyenne 26 % de moins que les hommes et
touchent une pension 40 % plus faible. Ces inégalités sont en partie compensées
par les droits familiaux, avec la validation des congés maternité et parental
et les pensions de réversion en cas de décès du conjoint. Ces droits ont pour
objectif de maintenir le niveau de vie, ils sont donc accessibles à toutes les femmes,
et leur montant est proportionnel au salaire. Le gouvernement veut les
remplacer par un filet de sécurité minimum, limité aux femmes dont les
carrières sont les plus précaires.
- L’objectif ? Réorienter les
salarié·e·s solvables vers la capitalisation.
La baisse générale programmée des
pensions, vise à généraliser les retraites par capitalisation comme complément
de retraites. Pourtant, les expériences étrangères et la crise financière ont
montré à quel point les retraites par capitalisation sont risquées et peuvent
s’évaporer en cas d’effondrement boursier. Ajoutons qu’elles contribuent à la
financiarisation de l’économie, détruisent de l’emploi et alimentent la spéculation
au détriment de nos entreprises.
Qui seront les seuls gagnants de
cette réforme ? Les banquiers et les
assureurs..
DES RETRAITES GARANTISSANT LE NIVEAU DE VIE DE CHACUN·E, C’EST
POSSIBLE
Notre système de retraite a été
construit en 1945, alors que le pays était ruiné. Son fondement : pour mieux
protéger les plus faibles, il faut un système universel qui maintienne le niveau
de vie de tous et toutes.
Pour assurer l’avenir de nos
retraites par répartition, la CGT propose :
- De nouvelles ressources
Mettre en place un droit à la
retraite à 60 ans, avec un minimum de 75 % net de son salaire net de fin de carrière,
est à notre portée avec de nombreuses possibilités de financement :
- La suppression des aides et des
exonérations de cotisations des entreprises, inefficaces pour l’emploi (200
Mds, Cour des Comptes).
- L’assujettissement à
cotisations sociales de l’ensemble de la rémunération (intéressement,
participation...) et un relèvement modéré des cotisations retraites.
- La mise à contribution des
revenus financiers des entreprises qui, au contraire des revenus financiers des
particuliers, sont totalement exonérés.
- Une maison commune des régimes de retraites
Les différents régimes de
retraite (public, privé, régimes spéciaux...) ont été construits pour s’adapter
aux contraintes spécifiques de secteurs professionnels et prendre notamment en
compte la pénibilité. La CGT propose, tout en maintenant le niveau des droits
de chacune et chacun, de les intégrer dans une maison commune des régimes de
retraites, ayant pour objectif d’assurer la mise en œuvre d’un socle commun de droits
à la retraite, d’instaurer une véritable solidarité des régimes dans le but de
promouvoir pour toutes et tous des retraites de haut niveau et de garantir la pérennité
financière des régimes par l’anticipation de ressources suffisantes.
- La prise en compte des années d’études
Alors que l’accès au premier
emploi stable a lieu à 27 ans en moyenne, contraindre les jeunes à cotiser 43
annuités pour avoir une retraite à taux plein équivaut à une mission
impossible, surtout quand on sait qu’à 62 ans seul un actif sur deux est encore
en emploi. Nous proposons donc la prise en compte des années d’études et
d’insertion dans le calcul de la Retraite, pour garantir le droit à retraite
des nouvelles générations.
vendredi 7 septembre 2018
#CGTENLUTTE - Conflit de la Macif
- #CGTENLUTTE - Conflit de la Macif, l’inspection du travail avertit la direction
Depuis plusieurs mois les salariés de la Macif sont mobilisés à l’échelle nationale contre la remise en cause de leur statut social.
Lorsque la Macif Ile de France décide de fermer l’agence de Bourg La Reine (même de manière temporaire), elle doit recueillir l’avis du CHSCT.
Malgré les demandes de la majorité des élus CGT et FO au CHSCT, la direction refuse la consultation de l’instance.- L’inspection du travail rappelle donc à l’entreprise que son refus, sous réserve de l’appréciation souveraine des tribunaux, entrave le bon fonctionnement de l’instance.
Dans un 2ème courrier, l’inspection rappelle à la direction qu’elle ne peut imposer à un salarié protégé aucun changement de ses conditions de travail ni modification de son contrat de travail.
Qu’en l’espèce la situation de l’élu CGT, sous réserve de l’appréciation souveraine des tribunaux, relève de la discrimination syndicale et demande à la direction de faire cesser ce trouble.
Ces 2 avertissements constituent une première victoire pour les actions menées par la CGT pour La Défense des droits de tous les salariés.
La lutte continue !
#CGTENLUTTE FIGEAC AERO
#CGTENLUTTE - Temps d’habillage, licenciement victoire aux prud’hommes! - FIGEAC AERO
Après plusieurs années de lutte, la CGT et l’avocate spécialiste en droit du travail, obtiennent une première victoire sur l’application de la loi concernant l’indemnisation des temps d’habillage/déshabillage.
Ainsi, il a été jugé qu’à partir du moment où le port d’une tenue de travail est obligatoire, que les conditions de travail effective (huiles de coupe, substances chimiques, métaux, solvants etc.) et de règles d’hygiène
nécessitent un changement de tenue sur le lieu de travail, l’employeur doit octroyer une compensation soit financière, soit sous forme de repos qui il a estimé à 10 min par jour travaillé.
Sur l’indemnisation des temps d’habillage/déshabillage : les juges ont condamné FIGEAC AERO à payer une indemnisation à hauteur de 10 min par jour travaillé avec effet rétroactif, ainsi que 10 % de cette indemnisation au titre de rappel de salaire sur le calcul de l’indemnité de congés payés aux
4 salarié(e)s
- Sur le licenciement de l’agent d’entretien : les juges ont condamné FIGEAC AERO à payer la somme de 11.418,54 euros de dommage et intérêt pour licenciement abusif,
- Sur les frais de procédure, les juges condamnent FIGEAC AERO à 1 500 euros pour chaque salarié(e)s, ils condamnent également Figeac aéro à payer au syndicat cgt la somme de 1000 euros pour dommage et intérêt et à 500 euros au titre des frais exposés pour la procédure.
À la suite de 2 tracts distribués dans l’entreprise et l’envoi d’un courrier recommandé de demande d' application du jugement à tous les salariés (près de 500 salariés concernés) , la direction a enfin décidé de rencontrer la Cgt concernant les temps d’habillage tout en maintenant son appel de cette décision devant la cour d'appel d'Agen.
La lutte continue…
Après plusieurs années de lutte, la CGT et l’avocate spécialiste en droit du travail, obtiennent une première victoire sur l’application de la loi concernant l’indemnisation des temps d’habillage/déshabillage.
Ainsi, il a été jugé qu’à partir du moment où le port d’une tenue de travail est obligatoire, que les conditions de travail effective (huiles de coupe, substances chimiques, métaux, solvants etc.) et de règles d’hygiène
nécessitent un changement de tenue sur le lieu de travail, l’employeur doit octroyer une compensation soit financière, soit sous forme de repos qui il a estimé à 10 min par jour travaillé.
Sur l’indemnisation des temps d’habillage/déshabillage : les juges ont condamné FIGEAC AERO à payer une indemnisation à hauteur de 10 min par jour travaillé avec effet rétroactif, ainsi que 10 % de cette indemnisation au titre de rappel de salaire sur le calcul de l’indemnité de congés payés aux
4 salarié(e)s
- Sur le licenciement de l’agent d’entretien : les juges ont condamné FIGEAC AERO à payer la somme de 11.418,54 euros de dommage et intérêt pour licenciement abusif,
- Sur les frais de procédure, les juges condamnent FIGEAC AERO à 1 500 euros pour chaque salarié(e)s, ils condamnent également Figeac aéro à payer au syndicat cgt la somme de 1000 euros pour dommage et intérêt et à 500 euros au titre des frais exposés pour la procédure.
À la suite de 2 tracts distribués dans l’entreprise et l’envoi d’un courrier recommandé de demande d' application du jugement à tous les salariés (près de 500 salariés concernés) , la direction a enfin décidé de rencontrer la Cgt concernant les temps d’habillage tout en maintenant son appel de cette décision devant la cour d'appel d'Agen.
La lutte continue…
jeudi 6 septembre 2018
Disparition des Banquiers !!!
Le numérique bouleverse le monde du travail et cette révolution n’est pas près de s’arrêter.
Selon une étude du think tank libéral Institut Sapiens ,les métiers de la banque ont été ces dernières années particulièrement touchés par les bouleversements liés à la robotisation et l’intelligence artificielle au point d’être menacés.
2,1 millions d’actifs « ont une forte probabilité de voir leur emploi disparaître dans les prochaines années », note l’étude. Il s’agit des métiers de comptable, de caissier, d’employé de banques et d’assurance, de secrétaire bureautique et de direction et enfin, de manutentionnaire.
Plus d’employés de banque en 2050
L’Institut Sapiens, qui s’est appuyé sur des données de la Dares – le service des études statistiques du ministère du Travail – regroupant les effectifs des emplois classés par familles professionnelles sur trente ans a conclu, par exemple, que la profession d’employé de banque, dont les effectifs ont fondu de 40 % entre 1986 et 2016, pourrait disparaître totalement à l’horizon 2050, soit quelques années avant les comptables – dont la date d’extinction prévue est en 2056.
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